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Chaque titre d'album représente un personnage important de la série. Le
personnage principal, Aymar de Bois-Maury n'aura pas droit à cet honneur*.
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Babette - Tome 1 - Pages 21 & 22
- Dans une monographie (éd Mosquito), Hermann a reconnu que ses personnages jouent aux
échecs avec des pièces contemporaines alors que, jusqu'au 14ème siècle, les cavaliers
étaient encore des éléphants, et les reines des vierges.
Merci à Patrick DUBUIS
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Babette - Tome 1 - Page 26 - Vignette 4
- Sur cette vignette, le bouclier du fils de Messire Eudes compte quelques rayures en trop !
Merci à Patrick DUBUIS
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Babette - Tome 1 - Pages 23 à 27
- Durant le tournoi, Aymar utilise un écu qui est bien à ses couleurs, mais ce
n'est pas celui qui l'accompagnera durant toute la série. Est-ce une voulu ou une
erreur de l'auteur ?
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Germain - Tome 3 - Page 19 - Vignette 8
- Hermann a reconnu également que le joug d'encolure des boeufs n'est apparu qu'au
13ème siècle, alors que la série se déroule entre 1096 et 1105.
Merci à Patrick DUBUIS
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Alda - Tome 5
- Messire Yvon de Portel ressemble terriblement à Yvan Delporte, scénariste, responsable
éditorial et rédacteur en chef du journal de Spirou de 1955 à 1968. Il a collaboré avec
Roba, Peyo, Will et bien d'autres...
Trouvé par Patrick DUBUIS
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Alda - Tome 5 - Page 15 - Vignette 4
- Superbe perspective ! Mais vous ne trouvez pas qu'il y a quelque chose qui cloche
au niveau de la porte...
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Sigurd - Tome 6 - Page 33
- Nous sommes donc allés lui demander et sa réponse est NON ! Il n'a pas copié
cette superbe planche de Hermann dans le tome 3 de sa série "Névé" (Rouge passion, page 18).
Merci à Emmanuel LEPAGE
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William - Tome 7 - Couverture (Edition originale)
- Pour les ignares : sachez qu'en arrière plan se trouve la tapisserie de la reine
Mathilde, connue aussi sous le nom de "la tapisserie de Bayeux".
Merci à Frédéric VOGL
(*) D'autres se chargeront de lui faire honneur, comme le dessinateur JARBINET dans
le tome 5 de sa série Mémoire de cendres (pages 14 & 15).
Merci à Vincent FAVENNEC
Découvrez l'analyse complète de Patrick Dubuis sur
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