Dick Hérisson - Sommaire -
La brouette des morts - Tome 10 - Page 11 - Vignette 6
"Ses yeux exorbités contemplent son corps gisant quelques mètres plus loin" dit-il. Té peuchère, les "quelques mètres" me rappellent la taille de la rascasse que j'ai prise hier! En fait, la tête décapitée se trouve à un mètre du corps, à peine plus.
Merci à Pascal FRITSCH

La brouette des morts - Tome 10 - Page 18 - Vignette 1
Ah, il est fort, Hérisson! D'après son raisonnement, si le dénommé BEAUFIXE est suspecté de meurtre, mais qu'il est en prison quand le meurtre suivant est commis, c'est qu'il est donc innocent du meurtre précédent! Et si un complice avait réalisé ce nouveau meurtre pour innocenter BEAUFIXE alors en prison ? Depuis que Clouzot a dévoilé la combine dans "L'assassin habite au 21", film paru dans les années 40, plus personne ne se laisse prendre par ce genre de stratagème.
Merci à Pascal FRITSCH

La brouette des morts - Tome 10 - Page 23 - Vignette 3
Un pilier de bistrot raconte à la page 20 qu'un certain "manoir de la forêt" a été incendié par les "Boches" en 1914. Seulement après, Hérisson explique que c'est en 1917 que les Allemands ont brûlé le manoir en question, celui de Coat An Noz. Alors ? C'est 1914 ou 1917 ? De toute manière, aucune des deux dates n'est possible : le manoir se trouve en Bretagne, et jamais les Allemands n'ont poussé jusque là durant la 1° Guerre Mondiale.
Merci à Pascal FRITSCH

La brouette des morts - Tome 10 - Page 34 - Vignette 3
Le personnage interrogé par Hérisson ne lit pas grand chose, sinon "les BD de BIBEUR-LU". A moins que ce BIBEUR-LU existe vraiment, est-il permis de penser qu'il s'agit d'un anagramme phonétique de BLUEBERRY?
Pascal FRITSCH

La brouette des morts - Tome 10 - Page 35 - Vignette 1
Le château du docteur Schnitt... Visiblement un château enchanté qui change de forme, car bien que vu sous le même angle (depuis les grilles d'entrée du château), le manoir est très différent en l'observant tel qu'il figure sur la couverture.
Merci à Pascal FRITSCH

La brouette des morts - Tome 10 - Page 45 - Vignettes 6 & 7
Si on suit ce raisonnement, il suffit de décapiter une personne X, de l'affubler des vêtements et de la montre d'une personne Y avant de le jeter à l'eau. Et tout le monde pensera que le cadavre repêché est celui de la personne Y. Même si les méthodes d'investigation de la police dans l'entre-deux-guerres n'étaient pas aussi développées qu'aujourd'hui, même sans l'A.D.N., on peut trouver ce subterfuge pour le moins... léger.
Encore Pascal FRITSCH

La brouette des morts - Tome 10 - Page 49 - Vignette 1
"Tout est fait pour inclure Schnitt dans une série" fait remarquer Hérisson. Un peu mon neveu! Dans une histoire de meurtres par décapitation, les germanophones pouvaient se douter dès le début que Schnitt était le meurtrier puisque "Schnitt" est en Allemand une variation du verbe "schneiden" qui veut justement dire "couper". Un nom prédestiné, en somme....
Merci à Pascal FRITSCH


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